Après cette soirée exceptionnelle, placée sous les vibrations de la guitare d’Anouk, et les discussions profondes, avec mon nouvel ami philosophe Adama, je tombe de fatigue. Je suis vite rentré à l’appartement.

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Baillant, j’ouvre la porte de ma chambre. ll fait tout noir, je m’empresse d’appuyer sur l’interrupteur de la lampe de chevet. Je me dirige vers la commode, ouvre un des tiroirs et y saisis un de mes pyjamas. Puis, je referme le tiroir.

 

Je me retourne et me rends compte que les rideaux sont ouverts. J’avance péniblement de quelques pas pour les fermer. Je tapote doucement les coussins afin de les raffermir et rabats ma couverture.

Enfin ! Je me glisse dans mon lit douillet. Bien sûr, je n’oublie pas de régler mon réveil, et finis par envoyer un dernier message à ma mère afin de la rassurer, avant de verrouiller mon téléphone.

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Ah, j’ai failli oublier… la lumière. J’appuie une dernière fois sur l’interrupteur de la lampe, baille d’épuisement et finis par m’écrouler de sommeil. Demain, m’attend une journée bien remplie au Val d’Oise...